Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Les Feuilles d'automne est un recueil de poèmes de Victor Hugo publié en 1831.Il regroupe en particulier six poèmes appelés Soleils couchants [1].. Extraits. disais-je. naître pour vivre en désirant la mort! On ne donne que ce dont on se prive. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! Où est donc le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. disais-je. – Infortuné! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. naître pour vivre en désirant la mort! Où donc est le bonheur ? Vieillir enfin, vieillir! Grandir en regrettant l’enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie! - Infortuné ! - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. CLE Maison d'édition - La Bibliothèque Clé - le … O ù donc est le bonheur, disais-je ? Où donc est le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphém&egra...Consultez les textes de Victor HUGO (1802-1885) sur la Bibliothèque Clé. Où est donc le bonheur ? disais-je. disais-je. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Plus tard, aimer, – garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d’un ineffable hymen, Envier l’eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d’une parole, Connaître un pas qu’on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d’avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu’un regard, qu’une fleur, qu’un soleil! disais-je. Extracts. Un rêve de bonheur qui souvent m’accompagne, Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné, Est-il donc vrai qu’il faut que ma vue enchantée, Ses pieds sont donc percez (comme il avait predit), Il n’est donc plus d’espoir, et ma plainte perdue, Sus! - Lucain. Puis effeuiller en hâte et d’une main jalouse Les boutons d’orangers sur le front de l’épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu’il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l’illusion, l’espérance, et sentir Qu’on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S’éprendre d’art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s’égarent nos pas ; Redemander cet âge où l’on ne dormait pas ; Se dire qu’on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s’enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d’amour! Lucain Où donc est le bonheur ? - Une citation de Victor Hugo Où donc est le bonheur ? Lucain Où donc est le bonheur ? Une citation de Victor Hugo proposée le mercredi 05 janvier 2011 à 09:43:43 Victor Hugo - Ses citations Citations similaires. que mon âme donc aille servir son âme, Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour. - Short Édition : Victor Hugo — Les Feuilles d'automneOù est donc le bonheur ?Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur, disais-je ? disais-je. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Mais c'est déjà assez d'être mortel. Plus tard, aimer, – garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d’un ineffable hymen, Envier l’eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d’une parole, Connaître un pas qu’on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d’avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu’un regard, qu’une fleur, qu’un soleil! disais-je." — Infortuné ! ", disais-je. disais-je. Voilà de quel nectar la coupe était remplie! Vous aimez ? Sed satis est jam posse mori. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. La phrase la plus longue de Victor Hugo sur « bonheur » est : « Mon adorée, pour nous, vieillir, c'est rajeunir; nos coeurs se renouvellent et recommencent. Près du bonheur extrême est l'extrême infortune. Où donc est le bonheur, disais-je ? - Infortuné ! et se plaindre est folie. - Infortuné ! disais-je. Inscrit dans le courant du romantisme ce poème parle du bonheur et expose l'idée que s'en fait Victor Hugo. Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! – Infortuné! – Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné! - Infortuné ! Sed satis est jam posse mori. disais-je. Hélas! … par Victor Hugo depuis plus de 3 ans. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d’ombre. J. Hetzel et A. Quantin, 1882, partie V, chap. Lire Lamartine ou Hugo nous fait parfois pousser de profonds soupirs et tenter de les "raccourcir"; leur qualité de plume n'est pas en cause. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! - Infortuné ! comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Être sage, et railler l’amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d’un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs! disais-je. LUCAIN. LUCAINOù donc est le bonheur ? Victor Hugo Où donc est le bonheur ? Les Feuilles d'Automne is a collection of poems written by Victor Hugo, and published in 1831. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. disais-je. ° "Où donc est le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! est un poème de Victor Hugo extrait du recueil Les feuilles d'automne (1831). - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Ce siècle avait deux ans « Ce siècle avait deux ans !Rome remplaçait Sparte, Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte, Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le … Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Où donc est le bonheur? Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment écrit par Victor HUGO (1802-1885). disais-je » fut écrit le 28 mai 1930 par Victor Hugo, célèbre auteur français né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 23 mai 1885 à Paris. Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! LUCAIN. Ainsi l’homme, ô mon Dieu! Où donc est la clarté? disais-je. - Infortuné ! Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! – Infortuné ! – Infortuné! Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. Profitez de ce poème en le découvrant sur cette page. Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur ?, poème de Victor Hugo (Les feuilles d'automne) : Où donc est le bonheur ? disais-je. ° "Où donc est le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Victor HUGO, Les Feuilles d'automne, 28 mai 1830. Victor Hugo, Les Feuilles d'Automne, XVIII. – Infortuné! - Infortuné ! Ainsi l’homme, ô mon Dieu! – Infortuné! c’est un arrêt qui n’épargne personne, Quoi donc, ma lâcheté sera si criminelle. – Infortuné! - Infortuné ! - Infortuné ! A lire en ligne gratuitement sur Short Édition : Où donc est le bonheur ? par Victor HUGO. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains romantiques de la langue française, il nous le prouve avec ses différents statuts ; poète, romancier et dramaturge. disais-je. Puis effeuiller en hâte et d’une main jalouse Les boutons d’orangers sur le front de l’épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu’il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l’illusion, l’espérance, et sentir Qu’on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S’éprendre d’art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s’égarent nos pas ; Redemander cet âge où l’on ne dormait pas ; Se dire qu’on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s’enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d’amour! Sed satis est jam posse mori. Vieillir enfin, vieillir! Victor Hugo. Grandir en regrettant l’enfance où le cœur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! 28 mai 1830 Victor Hugo disais-je. - Infortuné ! Plus tard, aimer, - garder dans … Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. éd. — Infortuné ! Voilà de quel nectar la coupe était remplie! Où donc est le bonheur ? Poème - Où est donc le bonheur ? Hélas! Page d'accueil Beaux textes. - Infortuné! Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Où donc est le bonheur ? Ce siècle avait deux ans (This century was two years old) « Ce siècle avait deux ans ! Où donc est le bonheur ? Où donc est le bonheur? Marie-Joseph Chénier Le Dico des citations Les nouvelles citations. disais-je. Près du bonheur extrême est l'extrême infortune. Mais c'est déjà assez d'être mortel. LUCAIN. "Où donc est le bonheur ? La philosophie est le microscope de la pensée. disais-je." et se plaindre est folie. Recueil Structure et forme Interprétation personnelle La question rhétorique dans le titre m'a interpellé Structure à l'infinitif : intéressante et rare Message au lecteur : Profiter de la vie mais ne pas sombrer dans idéalisation (ne pas se croire éternel mais faire face à la Cieux, où donc est la flamme? C’est donc avoir vécu! It contains a multitude of poems, six of which are especially known as Soleils Couchants. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. - Infortuné ! C’en est donc fait! LUCAIN. Victor Hugo (1802-1885) Où donc est le bonheur, disais-je? Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. Sed satis est jam posse mori. A l'opposé, le très court s'est imposé avec le Haïku lequel, en français est tout ce qu'on veut sauf un Haïku, puisqu'avec le syllabique, il est impossible d'en écrire un. Où donc est le bonheur? - Lucain. LUCAIN. Où donc est le bonheur? Poésie française.fr Recueil de poésies des meilleurs poètes français et étrangers d'hier à aujourd'hui. « Où est donc le bonheur disais-je ? Où donc est le bonheur? Le bonheur suprême de la vie est la conviction d'être aimé pour soi-même, ou plus exactement, d'être aimé en dépit de soi-même. disais-je. LUCAIN. Où donc est le bonheur? Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur ? c’est donc avoir été! disais-je. LUCAIN. disais-je. comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Être sage, et railler l’amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d’un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. 39 La paix de l'âme est dans ce monde le bonheur suprême. Grandir en regrettant l'enfance où le cœur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! Victor Hugo Où donc est le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! disais-je. Grandir en regrettant l'enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! par des tyrans cruels, Quoi donc! marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d’ombre. Poète : Victor Hugo (1802-1885) Recueil : Les feuilles d'automne (1831). Grandir en regrettant l’enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. disais-je. Victor Hugo : (Oeuvre inconnue) Si vous ne sentez pas que la chose donnée par vous vous manque, vous n’avez rien donné. — Infortuné ! Votez pour cette œuvre ! Le 28 mai 1830. Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. » est un poème extrait du recueil Feuilles d'Automnes (1831) de Victor Hugo, célèbre écrivain français du XIXème siècle. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné! disais-je. Dans la joie et l’amour et la félicité C’est avoir eu sa part! Où donc est le bonheur, disais-je? Où donc est le bonheur, disais-je ? Le 28 mai 1830. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! « Où est donc le bonheur ? Le bonheur suprême de la vie est la conviction d'être aimé pour soi-même, ou plus exactement, d'être aimé en dépit de soi-même. c’est donc avoir été! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. Où donc est le bonheur ? Victor Hugo. de HUGO est un poème classique extrait du recueil Les feuilles d'automne. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. disais-je. : Évadez-vous en lisant le poème "Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. 2, p. 162 - Dans la joie et l’amour et la félicité C’est avoir eu sa part! Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! Où donc est le bonheur ? C’est donc avoir vécu! ", disais-je. Où donc est le bonheur ?

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